Stephen Hawking a donné une réponse effrayante lorsqu’on l’a interrogé sur l’avenir de l’intelligence artificielle

Publié le 2 juin 2025

C’est une question que l’on s’est tous posée un jour. Y a-t-il une force supérieure ? Un dessein caché derrière l’univers ? Et quand c’est l’un des plus grands esprits scientifiques de notre temps qui y répond, forcément, on tend l’oreille... Stephen Hawking, ce génie de la cosmologie, a un jour donné son avis — et il est bien plus simple qu’on pourrait le penser. Prêt·e à découvrir son point de vue ?

Une vie de science et de réflexion

Stephen Hawking, disparu en 2018 à l’âge de 76 ans, a bouleversé notre compréhension de l’univers. Auteur de La théorie de tout et de nombreux travaux révolutionnaires sur la relativité et les trous noirs, il était aussi connu pour sa personnalité brillante et accessible.

Dans son dernier livre Brèves réponses aux grandes questions, il s’est livré avec franchise sur des sujets aussi profonds que… l’idée de Dieu.

Quand science et spiritualité se croisent

Depuis toujours, science et religion semblent parfois suivre des chemins divergents. La science s’appuie sur des preuves, la religion sur des croyances spirituelles. Stephen Hawking, lui, avait une approche bien à lui : « Si vous croyez en la science, vous croyez qu’il existe des lois de la nature constantes. Certains peuvent les voir comme l’œuvre de Dieu, mais cela reste une définition, pas une preuve. »

Une manière nuancée de dire qu’à ses yeux, l’univers pouvait s’expliquer par des lois physiques, sans qu’un être supérieur soit nécessaire pour les orchestrer.

Sa réponse claire sur l’existence de Dieu

Lorsqu’on lui a demandé de façon directe s’il croyait en Dieu, Hawking a répondu sans détour :
« Je pense que l’explication la plus simple est qu’il n’y a pas de Dieu. »

Il poursuivait en expliquant qu’à ses yeux, personne n’a créé l’univers ni ne dirige notre destin. Et concernant l’au-delà ? Là encore, il se montrait pragmatique : pas de paradis, ni de vie après la mort envisagée.

Mais attention, il ne s’agissait pas pour lui de sombrer dans un pessimisme stérile. Bien au contraire : « Nous avons cette seule vie pour apprécier le grand dessein de l’univers, et pour cela, je suis extrêmement reconnaissant. »

Une vision du futur teintée de prudence… et d’espoir

Stephen Hawking ne se contentait pas de réfléchir aux grandes questions métaphysiques. Il s’inquiétait aussi de l’avenir de notre planète. En 2016, il alertait sur les dangers que l’humanité fait peser sur la Terre : changements climatiques, risques technologiques ou encore conflits mondiaux.

Selon lui, ces menaces pourraient rendre la Terre inhabitable d’ici 2600. Un scénario préoccupant, mais Hawking gardait foi en la capacité de l’humanité à changer les choses : « Nous devons reconnaître les dangers et les maîtriser. Je suis optimiste et je crois que nous pouvons y parvenir. »

La NASA, qui partage des préoccupations similaires, rappelle que l’avenir climatique dépendra largement de nos actions actuelles. Une note d’espoir donc, car en réduisant nos émissions, il est encore possible de limiter les effets les plus néfastes.

En résumé

En matière de croyances comme de sciences, Stephen Hawking nous invite à réfléchir, à questionner… et surtout, à agir pour construire un avenir plus éclairé.