Des femmes avouent pourquoi elles ont eu une liaison avec un homme marié

Publié le 29 avril 2025
Des femmes avouent pourquoi elles ont eu une liaison avec un homme marié

On entend souvent que l’amour ne se commande pas. Mais qu’en est-il du désir ? Peut-on vraiment justifier une aventure avec quelqu’un qui a déjà dit "oui" pour la vie ? Pour certaines, l’alliance à l’annulaire est un stop absolu. Pour d’autres, c’est justement cette barrière interdite qui attise le feu de la tentation. Voici les confidences de huit femmes qui ont franchi la ligne rouge... et leurs raisons, parfois troublantes.

Le frisson de l’interdit

Pour Jenny, 31 ans, l’attrait était clair : le frisson de l’interdit.

Elle raconte :

« C’était grisant de savoir que ce qu’on faisait, était interdit. Il était plus âgé, marié, et je savais que cela ne durerait pas. Mais cette liaison m’a marquée. »

À travers son histoire, on comprend que l’interdit peut, parfois, transformer une simple aventure en souvenir inoubliable.

La découverte brutale

Colby, 23 ans, n’avait aucune idée que son partenaire était marié… jusqu’à une révélation brutale.
En découvrant une photo de mariage sur son téléphone, elle a compris la vérité :

« J’étais écœurée, de lui, mais aussi de moi. »

Son expérience rappelle combien certaines vérités éclatent au moment où l’on s’y attend le moins, laissant un goût amer d’avoir été trompée.

L’illusion d’une promesse

Vivian, 26 ans, pensait vivre une véritable histoire d’amour.
Pendant deux ans, son amant lui a promis chaque mois de quitter sa femme… sans jamais passer à l’acte.

« J’ai fini par comprendre que je ne serais jamais sa priorité. »

Comme beaucoup, elle a cru aux belles paroles d’un homme tiraillé entre deux vies.

L’attrait de l’inaccessible

Jess, 26 ans, reconnaît que c’était justement l’impossibilité de l’avoir entièrement qui la rendait accro :

« Il semblait plus mature, plus fascinant. C’était un défi exaltant. »

Pour elle, ce n’était pas seulement une question de désir, mais aussi une quête d’inaccessible, encore plus attirant.

Deux coupables, pas de victime

Raquel, 35 ans, était également mariée lorsqu’elle a entamé sa liaison avec son voisin.

« Je culpabilisais moins. Après tout, nous étions deux à trahir. »

Un équilibre étrange, où chacun assume sa part de faute… sans pour autant espérer bâtir quelque chose de durable.

Un défi entre amies

Pour Claire, 27 ans, tout est parti d’un pari lancé lors d’une soirée de bureau.

« Mon amie m’a défiée de draguer son patron. Sa femme n’était pas présente. Et il a craqué. »

Une aventure sans lendemain, née d’un jeu entre copines… mais qui laisse un souvenir marquant.

« Ce n’était pas moi le problème »

Kerri, 33 ans, insiste sur le fait qu’elle n’a rien provoqué :

« C’est lui qui me courait après. C’est lui qui trahissait, pas moi. »

Son témoignage montre comment certaines femmes déplacent la culpabilité pour soulager leur propre conscience.

La lourde culpabilité

Enfin, Sarah, 30 ans, raconte l’après : la prise de conscience douloureuse.

« Je me suis sentie terriblement coupable. J’ai détruit son mariage… et je me suis aussi un peu perdue. »

Son histoire rappelle que derrière des aventures parfois perçues comme légères se cachent souvent des blessures profondes.

En conclusion : entre tentation et regrets

Chacune de ces femmes a son histoire, ses raisons, ses justifications.

Mais un point commun se dégage : la complexité des émotions humaines, où désir, culpabilité, naïveté et besoin d’exister se mêlent.

Parce que parfois, ce que l’on croit être un simple jeu laisse des traces bien plus profondes que prévu.