Blague : Un mari interroge sa femme sur le nombre d’hommes avec qui elle a eu une relation…

Publié le 28 avril 2025

Certaines questions, dans un couple, méritent d’être posées avec tact. D’autres… feraient peut-être mieux de rester dans un coin de notre tête. Mais que se passe-t-il quand la curiosité prend le dessus, au risque de provoquer un petit moment gênant sous la couette ? Voici une histoire drôle qui illustre parfaitement cette situation. Et croyez-moi, la chute vaut le détour !

Une question (trop) personnelle

Un soir, dans l’intimité de leur lit bien chaud, un jeune couple fraîchement marié profite d’un moment de calme. Le mari, visiblement en proie à une soudaine poussée de curiosité, tourne la tête vers sa femme et lui demande doucement :

— Dis-moi chérie… avec combien d’hommes tu as été avant moi ?

La femme ne bouge pas. Son regard reste fixé au plafond, l’air profondément concentré. Un silence s’installe, un peu pesant. Mais le mari, persuadé qu’il s’agit là d’une conversation de confiance, insiste :

— Allez, tu peux me le dire, je ne vais pas mal le prendre. J’aimerais juste savoir…

Toujours aucun mot. Le plafond semble soudainement fascinant.

Un silence… lourd de calculs ?

Mal à l’aise, le mari réalise peut-être qu’il a mis les pieds dans un terrain glissant. Il tente de se rattraper :

— Excuse-moi, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. Je pensais qu’on pouvait parler librement, en toute sincérité…

Rien. Pas un mot. Pas même un soupir.

Désemparé, il essaye de la rassurer. Il la prend dans ses bras, lui caresse tendrement les cheveux, lui glisse quelques mots doux. L’ambiance romantique est de retour… du moins, c’est ce qu’il pense.

Et là, c’est la chute (et quelle chute !)

Après plusieurs minutes de tendres tentatives pour la réconforter, la femme tourne enfin la tête vers lui. Elle le regarde, visiblement contrariée, et lui lance :

— Oh, allez ! Tu m’as fait perdre le compte !

Morale de l’histoire ?

Parfois, il vaut mieux ne pas poser de questions dont on n’est pas prêt à entendre la réponse. Ou, du moins, attendre que l’autre ait fini de compter avant de l’interrompre !